Bertrand Alberge sculpte les “ Vanités ”

La couture des sculptures de coton nécessite énormément de bobines de fil. Ces centaines de bobines sont en quelque sorte mon “ déchet industriel ” que je pouvais recycler, à mon échelle… En les conservant, j’ai tout de suite pensé que j’allais en faire quelque chose.

La proportion d’une bobine vide est surprenante et puissante. En tournant, retournant une bobine, en me projetant dans sa structure j’ai rapidement imaginé des têtes … de mort.

Mon histoire personnelle et mes réflexions m’ont conduit à concevoir un corpus de 365 Vanités sous le titre : “ Chaque jour, on meurt ”.